Enfermé : ma première fois avec une cage à pénis
Ça faisait un moment que le sujet de la chasteté m'intéressait. J'avais lu quelques témoignages et je me demandais ce que ça ferait de porter une cage de chasteté, mais je n'osais pas me lancer. Finalement, ma curiosité a pris le dessus, j'en ai parlé à ma copine et on a décidé d'essayer ensemble cette cage à pénis de CB-X.
Quand le colis est enfin arrivé et que j'ai ouvert le paquet, j'ai tout de suite compris dans quoi je m'étais embarqué : la cage avait l'air de bonne qualité, lourde et très sérieuse, et montrait clairement de quoi il s'agissait. Trous, anneaux, cadenas, lubrifiant : tout était bien emballé, tout était bien pensé. La qualité se voit tout de suite.
Avant ça, j'avais déjà fait des recherches sur la manière de porter correctement la cage et sur les points à prendre en compte. La question la plus importante pour moi était : quelle est la bonne taille ? J'ai mesuré mon pénis au repos et j'ai cherché des cages qui correspondaient à peu près à cette longueur. Il était aussi important pour moi de choisir un modèle de haute qualité qui était explicitement décrit comme confortable et indolore dans les avis. J'ai ensuite passé en revue les différentes offres et tailles jusqu'à ce que je trouve une cage qui réponde à mes critères.
La première tentative – et le premier défi
Pour commencer, j'ai choisi le plus grand anneau afin d'éviter toute pression inutile, ce qui est tout à fait judicieux pour les débutants. Malgré cela, je me suis coincé quelques poils. Même avec des poils rasés, ça arrive vite, donc :
raser de près ou être très prudent. J'ai d'abord voulu essayer sans lubrifiant, mais j'ai vite compris que sans expérience et sans lubrifiant, c'était presque impossible. Heureusement, j'étais trop excité pour avoir une érection, ce qui était un avantage dans ce cas. Avec un peu de lubrifiant et de patience, j'ai lentement trouvé le chemin vers la cage.
Une fois la cage bien en place, tout semblait nouveau, serré et ferme – inhabituel, mais pas désagréable. C'était comme si quelqu'un tenait mon pénis tout en le faisant disparaître à certains endroits. Ce qui m'a surtout surpris, c'est qu'on ne sent presque rien de l'extérieur. Les petites fentes provoquent des stimulations minimes, mais nettement moins importantes que ce à quoi je m'attendais. Après une courte période d'adaptation, le vrai jeu a commencé : le teasing. Pendant que ma copine me touchait, je sentais que l'espace dans la cage se réduisait. Pas de douleur, mais une pression constante qui semblait de plus en plus intense. Un mélange de frustration, d'excitation et de tension – difficile à décrire, mais incroyablement efficace. En même temps, j'ai remarqué à quel point la cage me faisait me concentrer sur elle. Je pouvais me consacrer entièrement à son plaisir, sans distraction, sans soulagement rapide. On a tous les deux aimé ça.
Quand elle a finalement ouvert le cadenas, la libération a été incroyable. La tension accumulée s'est transformée en un plaisir intense – et ça semblait plus que mérité. J'imagine bien que cette expérience deviendra encore plus intense avec le temps. Jusqu'à présent, je n'ai porté la cage que pendant quelques heures, mais des sessions plus longues devraient faire passer le plaisir à un autre niveau.
Pour un port prolongé, le nettoyage est essentiel, tant pour le corps que pour la cage. Grâce à l'ouverture à l'avant, on peut la porter même pendant de petites pauses, sans avoir à l'enlever complètement. Le nettoyage en lui-même est simple : démonter, laver soigneusement, sécher.
Ma conclusion
Pour tous ceux qui sont curieux et veulent essayer quelque chose de nouveau : une cage de chasteté est une expérience surprenante, agréable et absolument recommandable, à condition de faire attention à la bonne taille, à la qualité et à l'hygiène. C'est un jeu de contrôle, de tension et de confiance qui redéfinit complètement le plaisir.